Sans ma moitié de pomme.
Je ne peux m'empêcher d'être tristoune, loin de toi.Même si ce n'est que pour une semaine.
Même si c'est pour la bonne cause (décrocher un petit papier rose me permettant de voyager sur les routes de France et de Navarre - pourquoi disaient-ils souvent ça à la météo ? C'est où la Navarre ? Le pays de Navarro ?)
De retour dans ma chambre d'adolescente qui est devenue une chambre de petite fille. Je revois mes frères et soeurs qui ont bien grandi, ma mère est dans l'effervescence des préparatifs de Noël, tandis que moi, j'ai tout fini (oui, je sais, je suis une bête...).
Un brin nostalgique, et ayant cette désagréable sensation de n'être pas à ma place. Parce que ma place est près de toi. Tout près, à te ronfler dans l'oreille.
Tu manques.
Et ce n'est que le début.
Je tourne en rond, ne sachant que faire, pourtant j'ai ramené du boulot avec moi, pourtant j'ai un fascicule à réviser... Mais c'est difficile de s'y mettre.
Allez, à tout bientôt, samedi aprèm, et pitêtre que je reviendrai au volant d'une ouature...